Et je me sens l'âme romantique.
Aussi je crois que je reprends ma prose.
Je ne sais pas qui ça peut émouvoir, je ne sais pas qui ça peut intéresser, mais je me sens l'humeur écrivaine.
Tout ces fantômes n'ont visiblement pas fini de me hanter, mais je ne les rejette pas, au contraire, je les accueille et les invite à se rendre à la valse de Janvier que j'ai organisée en ces soirs.
C'est un grand évènement qui se produit de rares fois l'an, c'est un festival de lumières et de couleurs, un festival illusoire qui enchante le coeur et qui laisse cet arrière goût d'absolu. J'éspère qu'ils comprendront, et que leur main froide et légère dans la mienne, on ira danser.
Je cueillerai le soir, plutôt que le jour, et j'apprécierai, je tenterai d'apprécier, la fragilité de ces instants éphémères.